dimanche 29 mars 2009
Saint Martin de Castillon Juillet 2008
L'exposition de Saint Martin de Castillon présenta les tableaux d'Henri Pertus du 26 juillet au 9 Août 2008.
Dans la chapelle des Pénitents, les vilageois firent un acceuil enthousiate à l'oeuvre de cet enfant du pays. En effet, Pertus patageait son temps entre Toulon et Saint Martin de Castillon
Pour vister l'expo http://picasaweb.google.fr/curieuxvar/LesTableaux?authkey=Gv1sRgCPX9lKG306yP2QE#
Dans la chapelle des Pénitents, les vilageois firent un acceuil enthousiate à l'oeuvre de cet enfant du pays. En effet, Pertus patageait son temps entre Toulon et Saint Martin de Castillon
Pour vister l'expo http://picasaweb.google.fr/curieuxvar/LesTableaux?authkey=Gv1sRgCPX9lKG306yP2QE#
jeudi 26 mars 2009
Notre boutique
Dans notre boutique, vous pouvez acheter:
Le livre du centenaire
Henri Pertus ou le bonheur de peindre
Le livre que Gaston Malherbe, le beau-fils du peintre, a écrit pour le centenaire de la naissance du peintre.
Cet ouvrage, très bien illustré de nombreuses reproductions de tableaux commentés avec passion par l'auteur, a été publié grâce au soutien du Comité des Arts du Var.
Il suffit de nous contacter pour l'acquérir au prix de 35 euros, frais de port en sus.
Le livre que Gaston Malherbe, le beau-fils du peintre, a écrit pour le centenaire de la naissance du peintre.
Cet ouvrage, très bien illustré de nombreuses reproductions de tableaux commentés avec passion par l'auteur, a été publié grâce au soutien du Comité des Arts du Var.
Il suffit de nous contacter pour l'acquérir au prix de 35 euros, frais de port en sus.
samedi 21 mars 2009
Céramiques
Toulon
Eglises St Flavien (Mourillon),
Saint Joseph (Pont du Las),
Saint Jeanne d’Arc (Beaulieu),
Sainte Thérèse (Pont du Suve),
Lycée Bonaparte,
Ecole de la Serinette,
Librairie Charlemagne
Le Beausset
Eglise
La Seyne
Notre Dame du Mai
La Valette
Ecole
Mane (05)
Eglise
Saint Martin de Castillon (84)
Eglise, Mairie
Saint Saturnin (84)
Eglise
Saint Saturnin Les Apt (84)
Eglise
Eglises St Flavien (Mourillon),
Saint Joseph (Pont du Las),
Saint Jeanne d’Arc (Beaulieu),
Sainte Thérèse (Pont du Suve),
Lycée Bonaparte,
Ecole de la Serinette,
Librairie Charlemagne
Le Beausset
Eglise
La Seyne
Notre Dame du Mai
La Valette
Ecole
Mane (05)
Eglise
Saint Martin de Castillon (84)
Eglise, Mairie
Saint Saturnin (84)
Eglise
Saint Saturnin Les Apt (84)
Eglise
mercredi 18 mars 2009
Biographie de Pertus
1) La jeunesse à Nimes
Enri PERTUS naît à Nîmes le 28 juillet 1908.
Fils du peintre Ferdinand Pertus et descendant par sa mère du sculpteur Guillaume Fulconis qui réalisa la Coupo Santo si chère à Mistral et toujours chantée dans les tribunes de Mayol quand joue le RCT. Il perpétuait la tradition de la composition, des volumes , de la couleur et de la précision..
« J’ai toujours tripoté la couleur, disait-il, mais la grande leçon de mon père aura été le respect de la nature »
Élevé dans le culte et la pratique de la peinture, il fréquente l’école des Beaux-Arts de Nîmes dès la fin de ses études
2) La période parisienne
Reçu à la fois aux Arts Déco et aux Beaux-Arts de Paris, pendant 5 ans, il va parfaire sa formation dans trois disciplines où il excellera: la peinture de chevalet, la gravure et la fresque.
Grand paysagiste et virtuose de la sérigraphie, il allait s’illustrer d’abord par l’exécution de nombreuses fresques (musée de la France d’Outremer à Vincennes, École Pratique et chambre de commerce de Nîmes).
3) Le choix de la Provence
Après son mariage en 1932, il s’installe à Toulon où sa jeune femme vient d’être nommée professeur. Médaille d’or de gravure à l’Exposition Universelle de 1937, il commençait à être connu pour ses gouaches et son œuvre gravée quand survient la déclaration de guerre . En octobre 1943, le bombardement de Toulon, qui détruit son logement, l’oblige à se réfugier avec sa famille à Saint Martin de Castillon, village du Vaucluse, où il passait déjà les vacances d’été depuis 1916. Pendant cette période, il rencontre Jean Giono au Contadour et fonde , avec l’Abbé Martel Alpes de Lumière à Mane (Salagon—Conservatoire Ethnologique de la Haute Provence)
Il y réalise deux albums de gravure:LES SAINTS DE PROVENCE et NOTRE VIEIL APT. Il s’imprègne pendant 2 ans face au Lubéron de la rude beauté de la Haute Provence.
4 ) TOULON et l’Ecole des Beaux-Arts
Revenu à Toulon à la Libération, il est nommé professeur à l’École des Beaux-Arts. Tout en accomplissant son œuvre personnelle, il y formera pendant 30 ans l’élite des jeunes artistes de l’école toulonnaise.
Il fait également partie des fondateurs du Groupement d’Études Provençales avec Marcel Bonnet et André Filippi. Avec ce dernier, il fondera le mouvement des Peintres imagiers de Provence. Désormais il partage son temps entre ses deux foyers géographiques. , Toulon et Saint Martin de Castillon, se passionne pour la céramique mise au service de l’art sacré et de la culture. Il collabore également à l’illustration de nombreux ouvrages (de MasFelipe Delavouet, Marius Jouveau, des éditions Aubanel, etc) illustrant une cause qui lui est chère: l ‘amour de la Provence, de sa culture et de ses traditions.
Lorsqu’il meurt à Toulon le 17 février 1988 après avoir peint jusqu’à ses derniers jours, il venait d’achever une série de gouaches illustrant une édition des ROIS MAGES, conte de Noël, écrit en 1906 par Frédéric Mistral et très recherché des bibliophiles.
Henri Pertus repose désormais à Saint Martin de Castillon (Luberon, Vaucluse)
Enri PERTUS naît à Nîmes le 28 juillet 1908.
Fils du peintre Ferdinand Pertus et descendant par sa mère du sculpteur Guillaume Fulconis qui réalisa la Coupo Santo si chère à Mistral et toujours chantée dans les tribunes de Mayol quand joue le RCT. Il perpétuait la tradition de la composition, des volumes , de la couleur et de la précision..
« J’ai toujours tripoté la couleur, disait-il, mais la grande leçon de mon père aura été le respect de la nature »
Élevé dans le culte et la pratique de la peinture, il fréquente l’école des Beaux-Arts de Nîmes dès la fin de ses études
2) La période parisienne
Reçu à la fois aux Arts Déco et aux Beaux-Arts de Paris, pendant 5 ans, il va parfaire sa formation dans trois disciplines où il excellera: la peinture de chevalet, la gravure et la fresque.
Grand paysagiste et virtuose de la sérigraphie, il allait s’illustrer d’abord par l’exécution de nombreuses fresques (musée de la France d’Outremer à Vincennes, École Pratique et chambre de commerce de Nîmes).
3) Le choix de la Provence
Après son mariage en 1932, il s’installe à Toulon où sa jeune femme vient d’être nommée professeur. Médaille d’or de gravure à l’Exposition Universelle de 1937, il commençait à être connu pour ses gouaches et son œuvre gravée quand survient la déclaration de guerre . En octobre 1943, le bombardement de Toulon, qui détruit son logement, l’oblige à se réfugier avec sa famille à Saint Martin de Castillon, village du Vaucluse, où il passait déjà les vacances d’été depuis 1916. Pendant cette période, il rencontre Jean Giono au Contadour et fonde , avec l’Abbé Martel Alpes de Lumière à Mane (Salagon—Conservatoire Ethnologique de la Haute Provence)
Il y réalise deux albums de gravure:LES SAINTS DE PROVENCE et NOTRE VIEIL APT. Il s’imprègne pendant 2 ans face au Lubéron de la rude beauté de la Haute Provence.
4 ) TOULON et l’Ecole des Beaux-Arts
Revenu à Toulon à la Libération, il est nommé professeur à l’École des Beaux-Arts. Tout en accomplissant son œuvre personnelle, il y formera pendant 30 ans l’élite des jeunes artistes de l’école toulonnaise.
Il fait également partie des fondateurs du Groupement d’Études Provençales avec Marcel Bonnet et André Filippi. Avec ce dernier, il fondera le mouvement des Peintres imagiers de Provence. Désormais il partage son temps entre ses deux foyers géographiques. , Toulon et Saint Martin de Castillon, se passionne pour la céramique mise au service de l’art sacré et de la culture. Il collabore également à l’illustration de nombreux ouvrages (de MasFelipe Delavouet, Marius Jouveau, des éditions Aubanel, etc) illustrant une cause qui lui est chère: l ‘amour de la Provence, de sa culture et de ses traditions.
Lorsqu’il meurt à Toulon le 17 février 1988 après avoir peint jusqu’à ses derniers jours, il venait d’achever une série de gouaches illustrant une édition des ROIS MAGES, conte de Noël, écrit en 1906 par Frédéric Mistral et très recherché des bibliophiles.
Henri Pertus repose désormais à Saint Martin de Castillon (Luberon, Vaucluse)
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